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La campagne “Octobre rose”, avec ses nombreuses animations, informatives, ludiques ou sportives, n’a qu’un seul but: sensibiliser sur le dépistage du cancer du sein qui en 2017 a touché près 59.000 femmes en France.
Avec de nombreux partenaires, comme l’Apremas, des badociations, etc le centre hospitalier d’Antibes s’est mobilisé, ce mercredi 17 octobre, au cours d’une journée dédiée à une meilleure information.
1. Toutes les femmes sont concernées
Le Dr Mihaela Popovici, radiologue, le rappelle: si le cancer a davantage de risque de se déclarer à partir de 50 ans, en raison de la ménopause et du bouleversement hormonal, des cas peuvent se déclarer beaucoup plus tôt.
D’où, la recommandation, dès l’âge de 25 ans, d’un examen clinique des seins, c’est-à-dire par palpation, à réaliser par un médecin généraliste, un gynécologue ou une sage femme.
L’amplitude de l’âge, favorable à un développement du cancer, est de 50 à 74 ans (près de 80%!). Mais, des cas peuvent, hélas, se déclarer plus tard encore.
Il n’y a pas d’âge, donc, hélas, pour pratiquer un dépistage.
2. Le dépistage augmente les chances de guérison
Le cancer détecté à un stade précoce nécessite, en général, un traitement moins lourd, avec moins de séquelles.
Il existe, dans chaque département, “un dépistage programmé”, coordonné par l’Apremas. On dit “programmé”, car à partir de 50 ans, toutes les femmes sont invitées à effectuer une mammographie.
C’est simple: on reçoit une invitation avec une liste de radiologue agréés. C’est gratuit: les examens sont pris en charge à 100% par la caisse d’badurance maladie, sans avance de frais.
Cette mammographie s’accompagne d’un examen clinique. Par sûreté, si les clichés ne montrent pas d’anomalie, une seconde lecture est réalisée par un autre radiologue.
3. Une unité sénologie à l’hôpital d’Antibes
Au premier trimestre 2019, une unité dédiée à la sénologie va être inaugurée au centre hospitalier. Avec notamment l’acquisition d’un nouveau mammographe.
L’unité regroupera l’ensemble des examens et des professionnels sur place. A la clé, une prise en charge complète et rapide: après son examen, la patiente pourra être vue, dans la semaine, par un gynécologue et un oncologue.
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