un dépistage génétique contre le cancer du sein



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Cette jeune femme en pleine santé est porteuse d’une mutation génétique qui la prédispose au cancer du sein. Chez elle, le risque est multiplié par sept. Il y a trois ans, Audrey Mendès a choisi de se faire enlever les seins de manière préventive pour échapper à la fatalité de ce cancer qui a tué sa grand-mère, sa mère et sa cousine. Nathalie Abdeldjebar, 47 ans, va bénéficier elle aussi d’un dépistage génétique. Elle a déjà eu un cancer du sein, tout comme sa sœur, qui en est morte à 39 ans. Grâce au test, elle espère pouvoir mieux protéger ses trois filles en cas de prédispositions.

À l’institut Curie, à Paris, 3 000 femmes acceptent chaque année de pbader ce test. En cas de prédisposition avérée, deux possibilités : soit une surveillance renforcée, soit la chirurgie préventive, choisie par 10% des patientes. L’institut héberge l’un des 25 laboratoires français de tests génétiques. Leur activité ne cesse de croître et les délais s’allongent. Nathalie Abdeldjebar devra patienter six longs mois avant de connaître le résultat du dépistage.

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