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La 3e édition du mois sans tabac débute ce 1er novembre. Les pharmaciens fournissent des kits gratuits d’aide à l’arrêt du tabac, mais les magasins de cigarettes électroniques reçoivent également des fumeurs à la recherche de substituts.
Dans un magasin spécialisé du centre de Metz, la plupart des clients fument un peu et vapotent beaucoup. Mais Sophie est motivée pour retenter un arrêt du tabac. Elle a fait le plein de liquide pour cigarette électronique : “pour avoir un sentiment de bien-être et me détacher de cet objet, la cigarette“.
Mais est-ce si facile que ça de remplacer totalement le tabac par une vapoteuse ? Voici la réponse d’Emilie : “au début non, ce n’est pas évident, mais après on s’y fait, il existe tellement de produit, de matériels. Je continue à fumer trois ou quatre cigarettes par jour, c’est mieux que le sevrage complet. En général, le gens reprennent davantage après quand ils se sont arrêtés brutalement”.
Dehors je fume, chez moi je vapote (Charlène)
Même constat pour Charlène : “je n’arrive pas à arrêter la cigarette même avec la vapoteuse. Quand je suis dehors, j’allume une cigarette alors que _chez moi je vais davantage vapoter_“. En fait, la plupart des clients d’Aurel’, chez Bonne-Vap, fument et vapotent : “les personnes qui pbadent d’un paquet à cinq ou six clopes par jour, c’est déjà un grand pas. Il faut le voir comme un chemin parcouru et non un reste à parcourir“.
Ce matin-là, dans le magasin d’Aurel’, seule Brigitte a arrêté d’un coup la cigarette après 25 ans de tabagisme. Elle vapote et son compagnon Patrice, non-fumeur, respire à nouveau : “du jour au lendemain, c’est agréable. Les parfums de la cigarette électronique sont agréables. On choisit le parfum anis“.
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